De
 l’orphelinat 
aux 
bourses
 scolaires.

Bref 
historique



Une Œuvre liée à l’origine du monastère

En autorisant la fondation du monastère en octobre 1896, le pape Léon XIII avait, lors d’une audience privée, souhaité qu’il contribue à « l’union des Églises » par une « Œuvre » placée sous l’autorité du Patriarcat grec-catholique en vue du « soulagement de son peuple ».

Cette « Œuvre » qui prit aussitôt la forme d’un orphelinat de filles était donc la condition que Léon XIII posait pour une fondation à Jérusalem, qui était attendue depuis l’origine de la Congrégation. L’orphelinat a donc été l’élément fondateur de la présence du monastère au Mont des Oliviers.

L’orphelinat jusqu’en 1978

L’orphelinat a débuté humblement dans les circonstances difficiles liées aux aléas politiques de la région. Les enfants venaient surtout du Liban et de la Syrie et il a fonctionné avec un nombre de 27 enfants maximum malgré les locaux exigus.

En 1966 la formule se modifie ; les Sœurs de Sion permettent d’assurer dans leur école la scolarité des fillettes. Elles sont seulement pensionnaires au Mont des Oliviers, accompagnées matin et soir sur le parcours par la sœur responsable. A partir de 1968 la scolarité est assurée par les Sœurs du Rosaire, congrégation de sœurs autochtones vouées à l’éducation et à l’instruction de la jeunesse du pays.

L’orphelinat se maintient jusqu’en 1978, mais en raison de l’évolution politique et sociale du pays il ne fut plus possible de poursuivre sous l’autorité du monastère cette forme d’apostolat voulue par Léon XIII.

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